L’emploi et
le bien-être au travail
Il existe un consensus naturel : l’emploi et le bien-être au travail ne sont que les deux faces d’une seule et même pièce.
Le bien-être au travail, selon l'INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité), englobe bien plus que la simple santé physique et mentale. C'est un sentiment général de satisfaction et d'épanouissement dans et par le travail. Avec l'impact de la crise sanitaire, cette notion est devenue cruciale pour les entreprises, car les employés se recentrent sur leur bien-être, leur épanouissement et la signification de leur travail.
Avec la crise sanitaire de 2019, cette notion est devenue cruciale pour les entreprises...
Dans notre société pleine de contradictions (loisirs, individualisme, team building,...), le travail ne devrait pas être perçu comme une contrainte, mais plutôt comme un vecteur d'épanouissement et de sens. Près de la moitié des salariés estiment que leur lieu de travail joue un rôle clé dans leur bien-être quotidien. Cela place les entreprises face à la nécessité de traiter activement cette question.
Les langues se délient, les mentalités évoluent et surtout les pratiques des entreprises changent ! Elles commencent à intégrer de vraies politiques du bien-être au travail et de proposer des initiatives pour favoriser l’équilibre vie personnelle et vie professionnelle.
Le bien-être au travail n'a pas seulement un impact sur les salariés, mais également sur la performance de l'entreprise. Les salariés heureux sont 31% plus productifs que leurs collègues insatisfaits, 55% plus créatifs, 9 fois plus loyaux, 6 fois moins absents et 2 fois moins souvent malades.
En effet, des employés épanouis contribuent à une productivité accrue et renforcent la compétitivité globale de l'entreprise.
Il est essentiel de porter cette ambition si légitime au travers d’un produit dédié et donc de promouvoir ces bonnes pratiques !
L'élaboration de politiques favorisant des emplois décents, la protection sociale et
la promotion du bien-être au travail sont des priorités tant au niveau national qu'international.
La lutte contre le chômage demeure un défi en France, avec des inégalités d'accès à l'emploi selon les secteurs et les régions.
La précarité, caractérisée par des contrats temporaires et des emplois instables, impacte la stabilité financière et le bien-être des salariés.
La recherche d'un meilleur équilibre entre vie professionnelle et personnelle est au cœur des préoccupations, avec une attention croissante portée à la qualité de vie au travail.
L'essor du télétravail, accentué par la pandémie, pose des défis en termes de gestion des équipes à distance et de préservation de la santé mentale des travailleurs.
Les disparités salariales au sein de différentes professions demeurent et nécessitent des efforts pour assurer l'égalité des opportunités.
La prise de conscience de l'importance de la santé mentale au travail nécessite des politiques et des pratiques favorables pour prévenir le stress et l'épuisement professionnel.
L'automatisation rapide de certains emplois exige une planification stratégique pour atténuer les impacts sociaux et assurer la réadaptation des salariés.
L'obtention d'un travail décent reste un défi, avec des questions liées aux droits des salariés
3,7 millions de salariés ont un contrat précaire.
Le taux de chômage au sens du BIT est ainsi quasi stable (+0,1 point) à 7,2% de la population active en France.
En 5 ans, le nombre de collaborateurs motivés par leur travail a diminué. Il est passé de 34% en 2015 à 29% aujourd’hui.